Pandanus lacuum, Nouvelle-Calédonie Le Pandanus lacuum, plante monocotylédone est reconnaissable à sa robuste tige élancée de 4 à 6m de haut, soutenue par des racines aériennes en échasses qui trempent dans l’eau. Ses feuilles, nichées en spirale, sont longues, larges et coriaces formant un bouquet étalé au bout des branches. Son fruit allongé est constitué de grosses drupes courbées. À mesure qu’elles mûrissent, les drupes deviennent orangées, se séparent, tombent dans l’eau et flottent. Cette espèce est micro endémique. C’est-à-dire que son aire de répartition est très restreinte. Aussi, cette espèce est en grand danger et ce d’autant plus, que ses graines mettent plus de 3 ans à germer.
Ici feuilles et fruit du Pandanus lacuum espèce rare et menacée, observée à Ouinne dans le cadre du projet scientifique Ermines.
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Le Pandanus lacuum, plante monocotylédone est reconnaissable à sa robuste tige élancée de 4 à 6m de haut, soutenue par des racines aériennes en échasses qui trempent dans l’eau. Ses feuilles, nichées en spirale, sont longues, larges et coriaces formant un bouquet étalé au bout des branches. Son fruit allongé est constitué de grosses drupes courbées. À mesure qu’elles mûrissent, les drupes deviennent orangées, se séparent, tombent dans l’eau et flottent. Cette espèce est micro endémique. C’est-à-dire que son aire de répartition est très restreinte. Aussi, cette espèce est en grand danger et ce d’autant plus, que ses graines mettent plus de 3 ans à germer.
Ici feuilles et fruit du Pandanus lacuum espèce rare et menacée, observée à Ouinne dans le cadre du projet scientifique Ermines.
Photo prise par David Bruy (UMR AMAP, conservateur de l'herbier de Nouvelle Calédonie).
L'utilisation la plus populaire du pandanus est destinée à la vannerie. Après séchage, les feuilles sont tressées pour fabriquer des toitures, des paniers, des chapeaux, des tapis.