Les sacs de coprah, transportés des séchoirs sur les motus, sont chargés sur un vélo pour être déposés sur le quai de l’atoll pour un chargement sur la goélette le lendemain.
La culture du coprah (albumen séché de la noix de coco) est une activité centrale dans de nombreuses îles et atolls de Polynésie française et assure un revenu à leurs populations.