Chant de marche avec un pluriarc Scène sur la marche. Les arcs encastrés dans une caisse de résonance et tendant des cordes, constituent un pluriarc. Avec le pluriarc (dont l'existence en Afrique Noire était déjà signalée au XVIème siècle par des voyageurs) se retrouve poussée à un fort degré d'intensité l'impression de répercussion dans le jeu de l'instrument, des rythmes physiologiques. Ainsi le pluriarc accompagne-t-il le plus souvent les incantations des magiciens (Disque II face 2, séquences 3 et 4). Il trouve cependant d'autres utilisations comme l'Ekakira à 6 cordes pincées des deux mains et tenu verticalement, de front, lors de la marche.
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Scène sur la marche. Les arcs encastrés dans une caisse de résonance et tendant des cordes, constituent un pluriarc. Avec le pluriarc (dont l'existence en Afrique Noire était déjà signalée au XVIème siècle par des voyageurs) se retrouve poussée à un fort degré d'intensité l'impression de répercussion dans le jeu de l'instrument, des rythmes physiologiques. Ainsi le pluriarc accompagne-t-il le plus souvent les incantations des magiciens (Disque II face 2, séquences 3 et 4). Il trouve cependant d'autres utilisations comme l'Ekakira à 6 cordes pincées des deux mains et tenu verticalement, de front, lors de la marche.
Enregistrements sonores, collectés et édités par Herbert Pepper entre 1941 et 1956 (ethnomusicologue à l’ORSTOM), Ducretet-Thomson (référence 320 C 126-128), Paris, 1958. Provenance : Archives sonores CNRS - Musée de l'Homme (MNHN), gérées par le Centre de Recherche en Ethnomusicologie (LESC, CNRS - Université Paris Nanterre) avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication. Consultation publique : https://archives.crem-cnrs.fr/archives/collections/CNRSMH_E_1959_002_004/