Circulation routière, Vietnam Scène de vie quotidienne des Vietnamiens lors de leurs déplacements. Ici circulation en scooter sur le pont Long Biên à Hanoï. De plus de 10 millions d'habitants, Hanoï, l'une des villes les plus polluées, connait régulièrement des pics de pollution. Le port du masque devient alors une protection recherchée.
Construit de 1898 à 1902, long de 1.682m, le pont Long Biên, est l’un des plus anciens du Vietnam. Pendant 83 ans, il est le seul pont à relier les deux rives avec sa voie ferrée centrale (à gauche de la photo sur lequel circule ici un train) entourée de deux pistes pour piétons et deux roues. Il est devenu emblématique de la ville.
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Scène de vie quotidienne des Vietnamiens lors de leurs déplacements. Ici circulation en scooter sur le pont Long Biên à Hanoï. De plus de 10 millions d'habitants, Hanoï, l'une des villes les plus polluées, connait régulièrement des pics de pollution. Le port du masque devient alors une protection recherchée.
Construit de 1898 à 1902, long de 1.682m, le pont Long Biên, est l’un des plus anciens du Vietnam. Pendant 83 ans, il est le seul pont à relier les deux rives avec sa voie ferrée centrale (à gauche de la photo sur lequel circule ici un train) entourée de deux pistes pour piétons et deux roues. Il est devenu emblématique de la ville.
Le pont Long Biên, anciennement appelé pont Paul-Doumer, se trouve dans le district de Long Biên du nom d’un quartier sur la rive gauche du fleuve Rouge. Aussi, le pont Long Biên est le 1er pont en acier enjambant le fleuve Rouge, d'une hauteur de 13,5m et de 20 piliers soutenant 19 travées. Se chargea de sa construction Daydé & Pillé, entreprise française creilloise de constructions métalliques fondée à la fin du XIXème siècle, intégrée par la suite dans le groupe Eiffel. Elle réalisa de nombreux ouvrages d’art métalliques en France et dans plusieurs pays étrangers, œuvrant dans la construction de nombreux ponts et viaducs.
Si l’ouvrage architectural est une œuvre d’art avant tout, c’est pour sa ressemblance à un dragon enjambant le fleuve avec ses ondulations métalliques. Au début du XXe siècle, il a ouvert une nouvelle ère dans l’urbanisation de Hanoï comme dans ses échanges commerciaux avec les provinces du Nord et du Nord-Est du pays. L’édifice a par ailleurs traversé des années de guerre et fut la cible de nombreux bombardements. Après la création d'autres ponts, il n’accepte aujourd’hui plus que les piétons, les deux-roues et le train.