le camp des Français : 1788 - 2005 Les indigènes de Vanikoro montrent en 1828 à Peter Dillon le lieu présumé du camp des marins rescapés de l'expédition Lapérouse, à l'embouchure d'une petite rivière dans la baie de Païou. Pourtant, aucune trace dans cette baie du passage de ces marins. Depuis cette date, de nombreux historiens amateurs se sont rendus à Païou pour y chercher le camp. En 1990, l'association Salomon et l'IRD organisent une campagne de recherche à terre. En 1999, une nouvelle campagne est organisée avec le concours de l'IRD pour tenter de localiser le camp. Au bout de 20 jours de recherche, les premiers vestiges apparaissent sous 1m20 de sédiments.
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Les indigènes de Vanikoro montrent en 1828 à Peter Dillon le lieu présumé du camp des marins rescapés de l'expédition Lapérouse, à l'embouchure d'une petite rivière dans la baie de Païou. Pourtant, aucune trace dans cette baie du passage de ces marins. Depuis cette date, de nombreux historiens amateurs se sont rendus à Païou pour y chercher le camp. En 1990, l'association Salomon et l'IRD organisent une campagne de recherche à terre. En 1999, une nouvelle campagne est organisée avec le concours de l'IRD pour tenter de localiser le camp. Au bout de 20 jours de recherche, les premiers vestiges apparaissent sous 1m20 de sédiments.
En 2003, les archéologues de l'IRD tentent de cerner les limites du camp des marins rescapés de l'expédition Lapérouse et de localiser des tombes. Des moyens géophysiques importants sont utilisés sans résultat notable. Pas de tombe autour du camp, pas de trace du chantier naval. Mais de nombreux indices suggèrent d'importantes modifications de cet environnement côtier depuis 200 ans.