La bioinformatique au service de la génétique des plantes, Montpellier
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La bioinformatique au service de la génétique des plantes, Montpellier
La bioinformatique au service de la génétique des plantes, Montpellier Les premières analyses bioinformatiques post-séquençage permettent de reconstituer le génome complet de l'organisme séquencé à l'aide du séquenceur Nanopore (ici une plante de riz africain). A l’issue du séquençage, un volume important de données a été généré pouvant correspondre jusqu'à 50 gigabases.
Ici, Christine Tranchant-Dubreuil, Ingénieur de recherche bioinformaticienne UMR DIADE et Julie Orjuela-Bouniol Ingénieur d'études bioinformaticienne, UMR DIADE, CapMediTrop.
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La bioinformatique au service de la génétique des plantes, Montpellier
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Les premières analyses bioinformatiques post-séquençage permettent de reconstituer le génome complet de l'organisme séquencé à l'aide du séquenceur Nanopore (ici une plante de riz africain). A l’issue du séquençage, un volume important de données a été généré pouvant correspondre jusqu'à 50 gigabases.
Ici, Christine Tranchant-Dubreuil, Ingénieur de recherche bioinformaticienne UMR DIADE et Julie Orjuela-Bouniol Ingénieur d'études bioinformaticienne, UMR DIADE, CapMediTrop.
Les analyses bioinformatiques vont permettre de traiter automatiquement ce volume de données : conversion des fichiers bruts (produit par le séquenceur) en séquences, traitement de la qualité de séquençage jusqu'à l'assemblage des séquences pour reconstituer le génome complet. Les analyses sont réalisées sur le cluster de calcul i-trop.