Les prêtres du Kunga Cette danse ne peut être pratiquée que par les associés du «Kunga». Le «Kunga » regroupe les hommes susceptibles de défendre la chefferie, des influences néfastes, par des moyen magique . Le «Kunga» procédait aussi à des rites pour la fécondité des terres. Les masques des danseurs, orné de cauris (petit coquillages blancs qui servaient jadis de monnaie d'échange), sont surmontés de cornes de vaches; et de longues tresses noires pendent jusqu'aux pieds. On note en outre la présence d'un masque en bois et d'une femme, la «reine» du «Kunga». L'orchestre est composé d'une trompe «fwa» qui joue en alternance rythmique avec un tambour hémisphérique à une peau au son grave «nkâ», deux tambours verticaux «too», un tambour de bois à lèvres «ndù», et les sonnailles des danseurs.
Lien vers la page du documentCopiez/collez ce lien pour l'envoyer par email, l'inclure dans une page web ou le partager sur les réseaux sociaux.
Lien vers le média
Code HTMLCopiez-collez le code ci-dessous pour intégrer le média dans une page Web.
Cette danse ne peut être pratiquée que par les associés du «Kunga». Le «Kunga » regroupe les hommes susceptibles de défendre la chefferie, des influences néfastes, par des moyen magique . Le «Kunga» procédait aussi à des rites pour la fécondité des terres. Les masques des danseurs, orné de cauris (petit coquillages blancs qui servaient jadis de monnaie d'échange), sont surmontés de cornes de vaches; et de longues tresses noires pendent jusqu'aux pieds. On note en outre la présence d'un masque en bois et d'une femme, la «reine» du «Kunga». L'orchestre est composé d'une trompe «fwa» qui joue en alternance rythmique avec un tambour hémisphérique à une peau au son grave «nkâ», deux tambours verticaux «too», un tambour de bois à lèvres «ndù», et les sonnailles des danseurs.