Salves d'honneur et chant guerrier Un armement moderne a remplacé les fusils de traite, mais c'est le même geste traditionnel qui se répète. Le tireur avance de quelques pas, brandit son fusil et tire en l'air, en l'honneur de la défunte. Les lamentations «we» enregistrées ici, sont celles des hommes. Ces derniers dansent autour d'un orchestre de tambours de peau, «nkâ» et «too» . A ces tambours s'ajoutent les tambours «ndù» et « meto'ndù », et des instruments d'accompagnement: maracas «tchi-tcha» et frotteurs «ke'kwa». On note aussi la présence d'un sifflet. Des femmes peuvent entrer dans le cercle des danseurs, mais seuls les hommes sont à l'orchestre. Le rythme du «we» se modifie. Il s'agit d'une pose d'ambiance dans les lamentations pour détendre les participants. Un chant célébrant la victoire des guerriers «njà'fù» a été choisi à cet effet.
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Un armement moderne a remplacé les fusils de traite, mais c'est le même geste traditionnel qui se répète. Le tireur avance de quelques pas, brandit son fusil et tire en l'air, en l'honneur de la défunte. Les lamentations «we» enregistrées ici, sont celles des hommes. Ces derniers dansent autour d'un orchestre de tambours de peau, «nkâ» et «too» . A ces tambours s'ajoutent les tambours «ndù» et « meto'ndù », et des instruments d'accompagnement: maracas «tchi-tcha» et frotteurs «ke'kwa». On note aussi la présence d'un sifflet. Des femmes peuvent entrer dans le cercle des danseurs, mais seuls les hommes sont à l'orchestre. Le rythme du «we» se modifie. Il s'agit d'une pose d'ambiance dans les lamentations pour détendre les participants. Un chant célébrant la victoire des guerriers «njà'fù» a été choisi à cet effet.