maladie du bout de la piste (la) - version courte Le film nous emmène en Côte d’Ivoire, sur les pas de Louis N’Dri, technicien de laboratoire à l’Institut Pierre Richet de Bouaké, et de son équipe de lutte contre la trypanosomiase humaine africaine.
Cette maladie qu’on appelle aussi maladie du sommeil est due à un parasite, le trypanosome. Il est transmis par la mouche tsétsé qui se nourrit du sang des humains et des animaux. Fièvres, ganglions, douleurs aux articulations, troubles du sommeil, troubles neurologiques, elle peut conduire à la mort. Louis et son équipe vont de quartiers en quartiers, de village en village, jusqu’ « au bout de la piste » pour sensibiliser, dépister et soigner cette maladie. Ils posent des pièges pour tuer les mouches tsétsés dans les zones humides propices à l’agriculture, pour protéger les populations.
Après plus d’un siècle de lutte, les prévalences ont considérablement diminué mais il reste encore des poches de résistance. Heureusement, les efforts des scientifiques et des équipes de lutte portent leurs fruits. Aujourd’hui, avec la participation de la population, le défi est d’éliminer la maladie sur l’ensemble du territoire ivoirien.
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Le film nous emmène en Côte d’Ivoire, sur les pas de Louis N’Dri, technicien de laboratoire à l’Institut Pierre Richet de Bouaké, et de son équipe de lutte contre la trypanosomiase humaine africaine.
Cette maladie qu’on appelle aussi maladie du sommeil est due à un parasite, le trypanosome. Il est transmis par la mouche tsétsé qui se nourrit du sang des humains et des animaux. Fièvres, ganglions, douleurs aux articulations, troubles du sommeil, troubles neurologiques, elle peut conduire à la mort. Louis et son équipe vont de quartiers en quartiers, de village en village, jusqu’ « au bout de la piste » pour sensibiliser, dépister et soigner cette maladie. Ils posent des pièges pour tuer les mouches tsétsés dans les zones humides propices à l’agriculture, pour protéger les populations.
Après plus d’un siècle de lutte, les prévalences ont considérablement diminué mais il reste encore des poches de résistance. Heureusement, les efforts des scientifiques et des équipes de lutte portent leurs fruits. Aujourd’hui, avec la participation de la population, le défi est d’éliminer la maladie sur l’ensemble du territoire ivoirien.