Lutte contre l'étoile de mer dévoreuse de corail, Vanuatu
Imprimer
Lutte contre l'étoile de mer dévoreuse de corail, Vanuatu
Lutte contre l'étoile de mer dévoreuse de corail, Vanuatu Etoile de mer corallivore Acanthaster planci consommant du corail. Cette espèce carnassière vit dans les écosystèmes coralliens de la zone tropicale ; elle se nourrit presque exclusivement de corail. De dimensions imposantes, de couleurs et de morphologie variables, elle est dotée de piquants dont le venin, qui provoque la nécrose des tissus, est toxique pour un grand nombre d’espèces, l’homme y compris, ce qui lui fait craindre peu de prédateurs. Sa capacité de reproduction est très importante. Les larves, planctoniques, sont particulièrement mobiles, et peuvent dériver sur des centaines de kilomètres. L’acanthaster est ainsi connue pour être localement une espèce invasive à fort potentiel de destruction sur les récifs coralliens, dont elle consomme les polypes en grande quantité, et elle a fait l’objet de tentatives d’éradication. Les facteurs à l’origine de ces invasions sporadiques des récifs par cette étoile de mer sont encore à l’étude en 2016
Lien vers la page du documentCopiez/collez ce lien pour l'envoyer par email, l'inclure dans une page web ou le partager sur les réseaux sociaux.
Lutte contre l'étoile de mer dévoreuse de corail, Vanuatu
Légende :
Etoile de mer corallivore Acanthaster planci consommant du corail. Cette espèce carnassière vit dans les écosystèmes coralliens de la zone tropicale ; elle se nourrit presque exclusivement de corail. De dimensions imposantes, de couleurs et de morphologie variables, elle est dotée de piquants dont le venin, qui provoque la nécrose des tissus, est toxique pour un grand nombre d’espèces, l’homme y compris, ce qui lui fait craindre peu de prédateurs. Sa capacité de reproduction est très importante. Les larves, planctoniques, sont particulièrement mobiles, et peuvent dériver sur des centaines de kilomètres. L’acanthaster est ainsi connue pour être localement une espèce invasive à fort potentiel de destruction sur les récifs coralliens, dont elle consomme les polypes en grande quantité, et elle a fait l’objet de tentatives d’éradication. Les facteurs à l’origine de ces invasions sporadiques des récifs par cette étoile de mer sont encore à l’étude en 2016