La vie est particulièrement rude aux altitudes froides et dépourvues d'oxygène, à plus de 5 000 m.
Certains oiseaux, comme le condor, possèdent des mécanismes régulateurs uniques chez les vertébrés leur permettant d'oxygéner leur cerveau et de supporter ces conditions extrêmes. Ils peuvent ainsi voler à haute altitude, où l'oxygène est rare, mais où l'air exerce moins de résistance au vol.
-- Photographies issues de l'ouvrage Natura Maxima sur la biodiversité en Équateur, éditions de l'IRD-2010.
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\photo recadrée N° 45841
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